Anton toujours présent malgré son départ prématuré vers les étoiles...
Toujours dans deux dimensions, de cabriole en calembour, Anton garde la lucidité de l’enfant dans le jeu, jonglant avec les illusions et le réel. Sans naïveté, sans nostalgie. Cet innocent paradis récréatif, il le recrée à sa guise, réveillant chez l’adulte une joie réelle de cet univers regagné. Il n’est pas étonnant que se décline ici le mythe du clown, du saltimbanque, thème miroir de l’artiste et l’enfant confondu.